Quelques mots pour tous les autres, quelques mots avant de partir
Les mots, les mots, les longs mots, des pages et des pages, et des brouillons, des bouts de feuille, un carnet, des feuilles doubles, et même quelques dessins, beaucoup, pas assez, bien trop peu, pas grand-chose, il les faudrait autrement, tout autrement, et bien pas qu’eux, pas qu’eux pas qu’eux (pas la peine d’attendre Pâques), autrement oui, comme parfois, il m’arrive, c’est possible, sauf lorsque je me laisse aller au trou dépressif, au rien qui m’aspire, sans me mettre en route, d’abord me mettre en route, toujours, après seulement les mots, les pensées, les prises de tête sans fin, même avec des idées, même avec des savoirs naissants. Il paraît qu’il y a cours, dans cette salle, pâle excuse pour dire que je ne mettrai pas toutes ces pages de rien sur le blog, je pense à toi, je pense à toi très fort, je pourrais même dire que je t’aime. Je suis là, pas loin, tout près. Si tu veux te mettre en route, elles pourraient se croiser.
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