Rêve de lions
Encore rêvé de lions. C'était l'avant-dernier panneau de mes rêves. Celui d'avant serait instructif, mais je ne m'en rappelle pas. Le suivant a peut-être du sens avec, à moins que ce ne soit qu'une homophonie lion/Lyon (car il y est question de l'OM). En me réveillant je me dis que bon dieu, on a du me dire quelque chose sur les lions qui m'a marqué, c'est pas possible (étant de signe astrologique lion, je me dis qu'on m'a peut-être fait peur par rapport à cela, un abruti quelconque, ou peut-être simplement qu'une horreur humaine m'a dit être lion elle aussi, difficile identification). Je n'en avais pas rêvé depuis très longtemps, mais je suis encore marqué par un rêve fait à 5 ans (je n'en rêve plus, mais le garde en mémoire ; ah, d'ailleurs, je me rends compte qu'il y avait je crois un autre rêve, datant de la même période, et bien je l'ai oublié). Aussi en me réveillant il y a une abeille ou une guêpe ; la fenêtre est légèrement ouverte, elle est derrière le rideau ou juste à l'extérieur ; il me semble, il me semble, qu'en me réveillant j'ai identifié de suite ce bruit à celui du lion, juste avant de me rendre compte que j'étais réveillé.
Le panneau précédent était intéressant, mais je ne m'en rappelle plus. Il explique je crois pourquoi je me suis retrouvé dans cette maison (qui n'apparaît pas pour la première fois dans mes rêves, je crois, mais il n'était pas question de lion avant que j'en sorte, au petit matin avant tout le monde). Le matin je me réveille, il est tôt. Je dois, plus que je veux me semble-t-il, écrire une lettre à quelqu'un qui m'est cher, et je pense ma soeur, sans trop savoir si c'est cela, sans trop savoir si ce n'est pas une lettre d'appel au secours. La maison est celle aux Thuiles au bas de la montée ; maison qui m'a toujours fait peur, là-bas, sans trop savoir pourquoi (à mon réveil, je me rappelle que mon père a dit une fois qu'un amant de ma mère, pendant que lui nous avait abandonnés, avait habité dans cette maison). L'idée est que je sors de ma chambre pour aller écrire (je me demande si ce n'est pas aller aux toilettes, si ce n'est pas la même chose) ; mais dans le champs, un lion (une grosse lionne) ; je ferai très attention ; le champs est sauvage mais compartimenté par des sortes de haies, et de même de l'autre côté de la route (à gauche dans le sens de la montée) ; je dis quelque chose comme maman il y a des lions (ou "les" lions, justement). J'ai le savoir qu'il y en a plusieurs, au moins lion, lionne, lionceau, le tiercé familial. Je ne peux pas compter sur ma maman, mais il me semble que je l'ai laissée, pas seule, dans la maison derrière ; peut-être est-ce là que je me dis qu'il faut que j'aille écrire une lettre, ou peut-être était-ce ma motivation de sortie, ou peut-être n'y en avait-il pas, ou peut-être était-elle autre (faire pipi ? ; en vrai là j'ai pas pissé hier soir, y allant, une fois n'est pas coutume, au saut du lit ; mais de même, écrire une lettre est-ce peut-être, à l'intérieur du rêve, l'idée que je dois le retenir, l'écrire, ce rêve).
Je passe le premier lion, assez loin sur ma droite (au point que je le prends pour une grosse lionne alors qu'il s'agit d'un lion, à ce qu'on me dira par la suite). Mais sur la route une grosse lionne qui me barre le passage et me montre les crocs, alors je fais demi-tour. Je ne sais si je rentre ou si je bats seulement en retraite (là où je vois que le premier était un lion, je finis par distinguer sa crinière, ou du moins m'en convaincre, parce que ce n'est pas évident, mais alors pas du tout ; dans cette retraite, des informations me viennent en tête, sans qu'elles me soient précisément dites par quelqu'un, ou peut-être me les avaient-on déjà dites (une femme, je crois) et sont-ce des souvenirs : cela concerne la population léonesque du coin : un lion en bas, une en haut, d'autres encore, par compartiment champêtre, chacun/chacune avec un nom, comme si ces compartiments étaient des régions, des pays (la lionne de X, le lion de Y, des noms africains de plus je crois).
Finalement la lionne était en promenade et descend dans un champs, je monte. En haut, légèrement à gauche, je trouve ce que je cherche, c'est la salle de bains du Banchet, et je me mets à écrire sur le rebord de la baignoire, assis sur une toute petite chaise. Dans la même pièce, un lionceau, tout gentil, tout mignon, mais même lui j'ai peur de l'approcher. Il s'amuse tranquillement dans son coin, un peu beaucoup léthargique, pâtaud. Ensuite je sors, je crois n'avoir pas terminé ma lettre ; peut-être me disais-je que la lionne risquait de venir voir son petit, je ne sais. Sortant, je vois à gauche, configuration de l'appartement du Banchet (mais devant moi c'est l'extérieur, encore), la lionne allongée en travers du salon, et active (peut-être fait-elle sa toilette). Cela tombe bien, je n'avais pas spécialement envie d'aller par là. Je vais tout droit, le long de la route (on est toujours aux Thuiles) ; dans le champs à droite, avant le restaurant, un lion allongé comme un sphinx ; mais à gauche, plus près encore de la route (à gauche il y a des haies, à droite seulement des herbes hautes), une lionne. Plein d'entrain d'abord, cela m'arrête, et je passe pile entre les deux, lignes droite (ou peut-être je sautille, peut-être même un peu plus haut encore au passage du lion ?), soit sur le bord de la route, un peu dans l'herbe (y a-t-il un fossé ? en tous les cas la taille des herbes semble le confirmer, et je passe à droite de celui-ci, un peu plus proche du lion, donc, ce pourquoi peut-être je me mets à sauter à l'approche de lui). Ensuite, je ne sais pas si je vais vers le restaurant ou autre (ou chez mes grands-parents ?), en tous les cas je suis sorti.
Dernier panneau, une descente de car, je crois, s'il n'y avait rien avant. Marseille a gagné, ou va gagner, je ne sais. J'ai des habits du club, et j'entre dans la cour d'un collège, ou d'un lycée. Je me sens étranger et supérieur aux autres supporters, qui m'enviaient il y a peu pour ce que j'avais (ou ce que j'ai fait ? je ne sais d'où vient cette différence et cette supériorité, elle doit bien s'ancrer quelque part objectivement), plus proche des autres collégiens ou lycéens, mais paré du club tout de même (peut-être expression de mon état actuel, passant plus de temps sur mon jeu vidéo que sur mon mémoire ?). Le dernier truc à la mode c'est un blouson à plus de 200 mille euros qui sera produit et commercialisé si l'OM gagne la finale ou je ne sais quoi ; je me demande si je pourrais l'avoir hors circuit commercial, si on me le donnera, et ainsi épaterai les autres. Personne ne me regarde, je pars vers ma salle de cours, et en chemin un mec, un raté comme souvent jusqu'à quinze ans au moins ce sont des (d'autres) ratés qui m'abordent et sont attirés par moi ; je parle de moi et raconte que chez moi il y a un lion, une lionne et un lionceau, ou bien peut-être seulement un lionceau parce que je sais en avoir déjà peur alors les parents avec, c'est peut-être un peu abusé. Je crois que je l'étonne pas mal, le type, et je suis content de moi, content d'avoir ce lionceau à la maison à la place d'un chat ou d'un chien. Je crois que je me suis réveillé là, me demandant bordel, mais d'où ça vient cette histoire de lions, on a du me dire un truc qui m'a marqué à leur propos.
Le panneau précédent était intéressant, mais je ne m'en rappelle plus. Il explique je crois pourquoi je me suis retrouvé dans cette maison (qui n'apparaît pas pour la première fois dans mes rêves, je crois, mais il n'était pas question de lion avant que j'en sorte, au petit matin avant tout le monde). Le matin je me réveille, il est tôt. Je dois, plus que je veux me semble-t-il, écrire une lettre à quelqu'un qui m'est cher, et je pense ma soeur, sans trop savoir si c'est cela, sans trop savoir si ce n'est pas une lettre d'appel au secours. La maison est celle aux Thuiles au bas de la montée ; maison qui m'a toujours fait peur, là-bas, sans trop savoir pourquoi (à mon réveil, je me rappelle que mon père a dit une fois qu'un amant de ma mère, pendant que lui nous avait abandonnés, avait habité dans cette maison). L'idée est que je sors de ma chambre pour aller écrire (je me demande si ce n'est pas aller aux toilettes, si ce n'est pas la même chose) ; mais dans le champs, un lion (une grosse lionne) ; je ferai très attention ; le champs est sauvage mais compartimenté par des sortes de haies, et de même de l'autre côté de la route (à gauche dans le sens de la montée) ; je dis quelque chose comme maman il y a des lions (ou "les" lions, justement). J'ai le savoir qu'il y en a plusieurs, au moins lion, lionne, lionceau, le tiercé familial. Je ne peux pas compter sur ma maman, mais il me semble que je l'ai laissée, pas seule, dans la maison derrière ; peut-être est-ce là que je me dis qu'il faut que j'aille écrire une lettre, ou peut-être était-ce ma motivation de sortie, ou peut-être n'y en avait-il pas, ou peut-être était-elle autre (faire pipi ? ; en vrai là j'ai pas pissé hier soir, y allant, une fois n'est pas coutume, au saut du lit ; mais de même, écrire une lettre est-ce peut-être, à l'intérieur du rêve, l'idée que je dois le retenir, l'écrire, ce rêve).
Je passe le premier lion, assez loin sur ma droite (au point que je le prends pour une grosse lionne alors qu'il s'agit d'un lion, à ce qu'on me dira par la suite). Mais sur la route une grosse lionne qui me barre le passage et me montre les crocs, alors je fais demi-tour. Je ne sais si je rentre ou si je bats seulement en retraite (là où je vois que le premier était un lion, je finis par distinguer sa crinière, ou du moins m'en convaincre, parce que ce n'est pas évident, mais alors pas du tout ; dans cette retraite, des informations me viennent en tête, sans qu'elles me soient précisément dites par quelqu'un, ou peut-être me les avaient-on déjà dites (une femme, je crois) et sont-ce des souvenirs : cela concerne la population léonesque du coin : un lion en bas, une en haut, d'autres encore, par compartiment champêtre, chacun/chacune avec un nom, comme si ces compartiments étaient des régions, des pays (la lionne de X, le lion de Y, des noms africains de plus je crois).
Finalement la lionne était en promenade et descend dans un champs, je monte. En haut, légèrement à gauche, je trouve ce que je cherche, c'est la salle de bains du Banchet, et je me mets à écrire sur le rebord de la baignoire, assis sur une toute petite chaise. Dans la même pièce, un lionceau, tout gentil, tout mignon, mais même lui j'ai peur de l'approcher. Il s'amuse tranquillement dans son coin, un peu beaucoup léthargique, pâtaud. Ensuite je sors, je crois n'avoir pas terminé ma lettre ; peut-être me disais-je que la lionne risquait de venir voir son petit, je ne sais. Sortant, je vois à gauche, configuration de l'appartement du Banchet (mais devant moi c'est l'extérieur, encore), la lionne allongée en travers du salon, et active (peut-être fait-elle sa toilette). Cela tombe bien, je n'avais pas spécialement envie d'aller par là. Je vais tout droit, le long de la route (on est toujours aux Thuiles) ; dans le champs à droite, avant le restaurant, un lion allongé comme un sphinx ; mais à gauche, plus près encore de la route (à gauche il y a des haies, à droite seulement des herbes hautes), une lionne. Plein d'entrain d'abord, cela m'arrête, et je passe pile entre les deux, lignes droite (ou peut-être je sautille, peut-être même un peu plus haut encore au passage du lion ?), soit sur le bord de la route, un peu dans l'herbe (y a-t-il un fossé ? en tous les cas la taille des herbes semble le confirmer, et je passe à droite de celui-ci, un peu plus proche du lion, donc, ce pourquoi peut-être je me mets à sauter à l'approche de lui). Ensuite, je ne sais pas si je vais vers le restaurant ou autre (ou chez mes grands-parents ?), en tous les cas je suis sorti.
Dernier panneau, une descente de car, je crois, s'il n'y avait rien avant. Marseille a gagné, ou va gagner, je ne sais. J'ai des habits du club, et j'entre dans la cour d'un collège, ou d'un lycée. Je me sens étranger et supérieur aux autres supporters, qui m'enviaient il y a peu pour ce que j'avais (ou ce que j'ai fait ? je ne sais d'où vient cette différence et cette supériorité, elle doit bien s'ancrer quelque part objectivement), plus proche des autres collégiens ou lycéens, mais paré du club tout de même (peut-être expression de mon état actuel, passant plus de temps sur mon jeu vidéo que sur mon mémoire ?). Le dernier truc à la mode c'est un blouson à plus de 200 mille euros qui sera produit et commercialisé si l'OM gagne la finale ou je ne sais quoi ; je me demande si je pourrais l'avoir hors circuit commercial, si on me le donnera, et ainsi épaterai les autres. Personne ne me regarde, je pars vers ma salle de cours, et en chemin un mec, un raté comme souvent jusqu'à quinze ans au moins ce sont des (d'autres) ratés qui m'abordent et sont attirés par moi ; je parle de moi et raconte que chez moi il y a un lion, une lionne et un lionceau, ou bien peut-être seulement un lionceau parce que je sais en avoir déjà peur alors les parents avec, c'est peut-être un peu abusé. Je crois que je l'étonne pas mal, le type, et je suis content de moi, content d'avoir ce lionceau à la maison à la place d'un chat ou d'un chien. Je crois que je me suis réveillé là, me demandant bordel, mais d'où ça vient cette histoire de lions, on a du me dire un truc qui m'a marqué à leur propos.
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