C'est la rentrée ; ctrl + s fois 653 = un mauvais aspirateur au service de la conservation névrotique du patrimoine herbeux
Ne pas penser à soi, faire, se lancer au milieu des choses, parler, désirer, etc., etc.
J'y pense et ajoute un d'accord c'est bon j'ai compris.
Pas la peine d'y repenser.
Je note ceci deux heures après l'avoir produit dans ma tête.
J'ai horreur des répétitions, surtout à l'identique. Refaire, répéter, simuler : quelle horreur. Peut-être quand j'aurais trouver une forme qu'il ne me déplaîra pas de répéter ?
Complètement hors-sujet, mais c'était à l'instant : elle, tu, les gens, qui être conjuguer à la personne voulue morts plusieurs fois, avoir conjuguer à la personne voulue plus de chances de vivre, bien et longtemps.
C'est ce que je me dis face aux doses en rétrospection que je m'envoie. Bouts de vie. Fragments d'une unité quand même présente, très présente (trop ?).
Au moins c'est vrai elle s'oublie très souvent, et met en scène son oubli d'elle-même face à l'image, bien plus souvent encore. On ne voit pas du tout un cerveau, si desséché soit-il, à l'oeuvre derrière une vitre opaque. Pas des fragments sincères non plus. Travail de (re)composition. Au fil du temps. Instants cristallisés, fragments durs.
Logique, encore, du signifiant et de l'évènement, toujours évité cependant.
Je sais très bien pourquoi elle m'avait "intéressé". J'ai horreur des personnes perdues dans leur temps. Encore moins celles qui sont vaniteuses prétentieuses à l'intérieur de leur petit, tout petit espace-temps, sans s'attacher à rien qui le dépasse, ni rien créer qui le dépasse. Je veux dire égocentriques, ce qui revient au même. Je n'aime pas non plus les personnes qui n'ont pas la vanité de s'imaginer supérieures au petit espace-temps qui les contraint.
Soudain une extraordinaire beauté surgit de ses lignes, de ses visages sur photo, une beauté irradiante sans source précise, venant de tout l'écran. Une aspiration, un plongeon, dans la moindre lettre, dans le moindre interstice entre les mots, les lignes, entre les corps et les objets, je ne pouvais pas être ailleurs, damné.
Quand ce qui n'a jamais existé, ce qui n'est strictement rien, rayé de la carte, voué aux gémonies riantes, moqueuses et ironiques, surgi, se présente innocent, avec une force rare, une intensité de vie phénoménale, une capacité de pliage non moins extraordinaire, et un corps mou, liquéfié, friable, désossable, élastique, porté comme une défroque autant bouffonne que triste... L'aspiration est totale.
Mais ça c'était après. Toutes les rentrées portent le souffle du nouveau, cette joie extraordinaire et évènementielle du neuf. Avant, cela avait débuté comme une blague. Morte d'y avoir cru, sans plus rire.
J'y pense et ajoute un d'accord c'est bon j'ai compris.
Pas la peine d'y repenser.
Je note ceci deux heures après l'avoir produit dans ma tête.
J'ai horreur des répétitions, surtout à l'identique. Refaire, répéter, simuler : quelle horreur. Peut-être quand j'aurais trouver une forme qu'il ne me déplaîra pas de répéter ?
Complètement hors-sujet, mais c'était à l'instant : elle, tu, les gens, qui être conjuguer à la personne voulue morts plusieurs fois, avoir conjuguer à la personne voulue plus de chances de vivre, bien et longtemps.
C'est ce que je me dis face aux doses en rétrospection que je m'envoie. Bouts de vie. Fragments d'une unité quand même présente, très présente (trop ?).
Au moins c'est vrai elle s'oublie très souvent, et met en scène son oubli d'elle-même face à l'image, bien plus souvent encore. On ne voit pas du tout un cerveau, si desséché soit-il, à l'oeuvre derrière une vitre opaque. Pas des fragments sincères non plus. Travail de (re)composition. Au fil du temps. Instants cristallisés, fragments durs.
Logique, encore, du signifiant et de l'évènement, toujours évité cependant.
Je sais très bien pourquoi elle m'avait "intéressé". J'ai horreur des personnes perdues dans leur temps. Encore moins celles qui sont vaniteuses prétentieuses à l'intérieur de leur petit, tout petit espace-temps, sans s'attacher à rien qui le dépasse, ni rien créer qui le dépasse. Je veux dire égocentriques, ce qui revient au même. Je n'aime pas non plus les personnes qui n'ont pas la vanité de s'imaginer supérieures au petit espace-temps qui les contraint.
Soudain une extraordinaire beauté surgit de ses lignes, de ses visages sur photo, une beauté irradiante sans source précise, venant de tout l'écran. Une aspiration, un plongeon, dans la moindre lettre, dans le moindre interstice entre les mots, les lignes, entre les corps et les objets, je ne pouvais pas être ailleurs, damné.
Quand ce qui n'a jamais existé, ce qui n'est strictement rien, rayé de la carte, voué aux gémonies riantes, moqueuses et ironiques, surgi, se présente innocent, avec une force rare, une intensité de vie phénoménale, une capacité de pliage non moins extraordinaire, et un corps mou, liquéfié, friable, désossable, élastique, porté comme une défroque autant bouffonne que triste... L'aspiration est totale.
Mais ça c'était après. Toutes les rentrées portent le souffle du nouveau, cette joie extraordinaire et évènementielle du neuf. Avant, cela avait débuté comme une blague. Morte d'y avoir cru, sans plus rire.
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